1958-59 | Centre de dominance
« Sur le plan de la toile, le centre se propose en maelström, gouffre, tourbillon, qui creuse la profondeur de l'oeuvre, se déplace et s'ouvre, se fait et se défait, en se constituant. Etablissant alors en effet un espace où le centre est partout et la périphérie nulle part. »
Marcelin Pleynet, Reigl, Paris, Ed. Biro, 2001, p34